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Depuis que j’ai appris que Kate Middleton et le Prince William se sont fiancés, je ne peux pas m’empêcher de penser au fait qu’ils ont d’abord été colocs lors de leur parcours universitaire.
Kate se retrouve dans la même résidence que le jeune prince à l’époque où ils fréquentent la même université de St Andrews en Ecosse. Quelques mois plus tard, ils habitent ensemble, sous prétexte de colocation.
Et vous, est-ce que vous vous imagineriez sortir avec votre colocataire ? Un avantage ou un inconvénient ? Peut-être qu’en vivant ensemble on en apprend plus sur ses manies, ses habitudes, s’il/elle est propre ou pire… s’il/elle est sale !
C’est moins rare que ce que l’on croit, en effet de nombreux couples ont commencé par la colocation. Appartager à sans doute joué les Cupidon certaines fois! C’est le cas de Natalie et Franck, anciens utilisateurs du site, qui se sont rencontrés lors de l’année Erasmus de Natalie, étudiante espagnole à l’Université de Toulouse ! Voilà 4 ans qu’ils partagent le même appart, et toujours en colocation avec d’autres colocataires, mais dans la même chambre.
« J’aurais jamais imaginé rencontrer mon petit copain dans ma colocation » dit Natalie, « je pensais rester en France une année et repartir ensuite à Barcelone. Quand je l’ai vu à l’appart le premier jour, ça ne m’a pas effleuré une seconde qu’on pourrait devenir un couple ! ». « Je me suis décidé à lui faire comprendre qu’elle me plaisait après quelques mois, j’ai organisé une dîner juste pour nous deux » confie Franck.
Ils se sont posé beaucoup de question avant d’officialiser leur relation auprès de leurs autres colocataires. Ils pensaient que cela pourrait affecter l’ambiance à la maison, « mais tout s’est bien passé » rassure Natalie. « En janvier, on prend un appart pour nous deux ! »
Le cas de Franck et Natalie est un succès, mais d’autres situations sont souvent plus problématiques ! Que se passe-t-il si le couple se sépare ? S’il s’agissait d’un simple dérapage après une soirée un peu trop arrosée ?
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Discussion2 Comments
J’ai coloué une dizaine de fois, avec garçons et filles. Ma deuxième colocation a duré 2 jours. C’était une étudiante mexicaine. En arrivant, elle se passe du maquillage pendant une heure, enfile une robe moulante, décolletée et ultra-courte. Je lui fais visiter la ville, sous les sifflets de conducteurs. Après quelques bars, où elle boit beaucoup en compagnie de toutes sortes d’inconnus et inconnues, je la ramène à la maison. Je n’avais pas bu, mais j’avais le même sentiment d’irréalité. Le lendemain, rebelote. Au petit matin, je viens voir si tout va bien. La voir allongée sur le divan du living, lascive, encore à moitié dans les vapeurs de l’alcool, j’ai eu du mal à résister. Après coup, nous avons réalisé la difficulté de la situation et elle a choisi de trouver un nouveau logement.
Nous nous sommes revus quelques mois plus tard. Entretemps, elle a multiplié les frasques, s’est fait suivre en rue, s’est retrouvée au bureau de police, enfin la totale. J’ai fini par la trouver touchante dans sa confiance, son abandon, sa désinvolture.
Elle est rentrée au Mexique et nous avons gardé de bons contacts par Internet. Pour ma part, j’ai retenu la leçon : pas sortir avec sa colocataire. 🙂
En gros quand tu vois ta colloque totalement bourrée un matin, toi ce que tu trouves a faire c’est de te la taper! Mais bon pas de probleme t’as appris la lecon, ou plutot elle a appris la lecon et est partie. Ca m’a bien fait marrer ton histoire en tout cas!